"J'ai rencontré la nostalgie, la fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie".
Aucune.Envie
Contre qui en avez vous ?
Dimanche 20 novembre 2011 à 12:26
"J'ai rencontré la nostalgie, la fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie".
Mercredi 16 novembre 2011 à 23:30
(Son nom c'est Barcella, poète de l'ombre à la plume aiguisée)
Jeudi 3 novembre 2011 à 10:58
Vendredi 7 octobre 2011 à 19:24
Il y a des jours sans, et des jours avec. En ce moment ce sont plus des jours sans. La distance fait mal, malgré ce qu'on peut penser au départ, toutes les petites intentions, toutes les petites engueulades, les odeurs dont on avait l'habitude, les cachettes où on aimait se retrouver pour être seul, les moments de rigolades, les moments de retrouvailles... sont des choses qui manquent. Qui manquent et qui font mal au coeur, qui font pleurer.
Et il suffit d'ajouter à cela les problèmes de colocation, les contretemps, le manque d'assurance, le stress, le mal de dos, et la peur pour que le mélange soit comme qui dirait... explosif.
Dimanche 17 juillet 2011 à 17:00
A cet instant précis j'ai vraiment peur que tout cela ne soit qu'une grosse erreur.
C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte. C’est ceux qu’on a aimé qui créent un vide presque tangible, car l’amour qu’on leur donnait est orphelin, il cherche une cible. Pour certains on le savait, on s’était préparé au pire, mais d’autres ont disparu d’un seul coup, sans prévenir. On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore. Alors on s’est regroupé d’un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste. C’est seul qu’on fait son deuil, car on est seul quand on ressent. On apprivoise la douleur et la présence de nos absents. Nos absents sont toujours là, à l’esprit et dans nos souvenirs. Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires. Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés, ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n’était. On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou, en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous. Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure, dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur. Nous on a des projets, on dessine nos lendemins. On décide du chemin, on regarde l’avenir entre nos mains. Et au coeur de l’action, dans nos victoires ou nos enfers, on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire. Chaque vie est un miracle, mais le final est enervant. J’me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant. Faut apprendre à l’accepter pour essayer de vieillir heureux, mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux. Chaque nouvelle disparition transforme nos coeurs en dentelle, mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastelles. Ce temps qui pour une fois est un véritable allié. Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers. Moi les morts, les disparus, je n’en parle pas beaucoup. Alors j’écris sur eux, je titille mes sujets tabouts. Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous qui fait qu’on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses. C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte. C’est ceux qu’on a aimé qui créent un vide presque infini, qu’inpirent des textes premier degré.
Faut dire que la mort manque d’ironie.
Grand Corps Malade
Lundi 13 juin 2011 à 12:12
Mardi 7 juin 2011 à 21:22
Samedi 21 mai 2011 à 18:04
De cette grande puissance économique,
de ce petit pays devenu milliardaire
par le pillage des nations d'Afrique ?"
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